Depuis la verdoyante zone humide de Monpox on contourne la Sierra Nevada de Santa Marta, point culminant du pays avec le pic Cristobal Colõn, par le Sud pour faire une halte à Valledupar, une ville de 300 000 habitants sans grand intérêt si ce n'est pour sa musique rythmée Le Valletano dominée par l'accordéon omniprésente sur la côte.
Arrivés sur la côte le carnaval bat son plein sur toute les Caraïbes pendant 4 jours, c'est à Riohacha plutôt qu'à Baranquilla que nous y assistons avec la musique à fond dès le coucher du soleil jusqu'au matin.
Riohacha est le point de départ pour la péninsule de La Guajira, à l'extrême Nord de la Colombie mais aussi de l'Amérique du Sud, zone désertique balayée par le vent parsemée de cactus, acacias, et buissons.
Le long de la frontière on vend du carburant vénézuelien de contrebande 4 fois moins cher que le prix à la pompe
La Guajira, sorte de bout du monde d'une beauté austère, longe la frontière du Vénézuela à l'Est puis plonge dans la mer Caraïbe sur une côte rocheuse volcanique et de sable ocre, de fortes vagues déferlent et rendent la baignade très limitée sans s'éloigner du bord.
Cette région est habitée par quelques familles indigènes Wayuu qui vivent à l'écart de notre civilisation, ils pèchent, élèvent des chèvres, les femmes tricotent des mochillas ( sacs ronds en laine ) qu'elles vendent aux touristes.
La grande houle de l'Atlantique vient se briser sur les roches volcaniques à Cabo de la Vela
Les Salinas de Manaure font penser au Salar D'Uyuni en Bolivie mais ici nous sommes en bord de mer, on inonde les bassins avec des pompes, le vent chaud et le soleil font le reste.
Quelques structures touristiques rudimentaires à Cabo de la Vela, nous avons couché là dans des hamacs sous une paillote
Pour l'instant la côte n'est pas le reflet des plages idylliques vantées par les éditions de guides, nous prenons un peu de repos à Palomino au Nord de la Sierra mais le parc national est fermé tout le mois de février. Nous apercevons le joli sommet enneigé du Pico Cristobal Colõn.
Arrivés sur la côte le carnaval bat son plein sur toute les Caraïbes pendant 4 jours, c'est à Riohacha plutôt qu'à Baranquilla que nous y assistons avec la musique à fond dès le coucher du soleil jusqu'au matin.
Riohacha est le point de départ pour la péninsule de La Guajira, à l'extrême Nord de la Colombie mais aussi de l'Amérique du Sud, zone désertique balayée par le vent parsemée de cactus, acacias, et buissons.
La Guajira, sorte de bout du monde d'une beauté austère, longe la frontière du Vénézuela à l'Est puis plonge dans la mer Caraïbe sur une côte rocheuse volcanique et de sable ocre, de fortes vagues déferlent et rendent la baignade très limitée sans s'éloigner du bord.
Cette région est habitée par quelques familles indigènes Wayuu qui vivent à l'écart de notre civilisation, ils pèchent, élèvent des chèvres, les femmes tricotent des mochillas ( sacs ronds en laine ) qu'elles vendent aux touristes.
Fillette Wayuu à Cabo de la Vela
2 belles Frégates planent sur la Côte Caraïbe
Un Caracara nettoie une plage
Les Salinas de Manaure font penser au Salar D'Uyuni en Bolivie mais ici nous sommes en bord de mer, on inonde les bassins avec des pompes, le vent chaud et le soleil font le reste.
Pour l'instant la côte n'est pas le reflet des plages idylliques vantées par les éditions de guides, nous prenons un peu de repos à Palomino au Nord de la Sierra mais le parc national est fermé tout le mois de février. Nous apercevons le joli sommet enneigé du Pico Cristobal Colõn.
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