La mauvaise météo pour plusieurs jours en haute altitude nous prive de l'étape dans la parc El Cocuy, . La prochaine destination nous conduit 2000 mètres plus bas à San Gil, ville de 50 000 habitants réputée pour la pratique du parapente, vtt, rafting etc...
Un dimanche à San Gil nous démontre combien la ferveur religieuse existe en Amérique latine, bien qu'il y ait des messes chaque jour régulièrement suivies, celle du dimanche fait le plein, le marché et les places aussi.
Ensuite c'est le barbecue au bord de l'eau, si les gens sont gras ils s'en donnent la peine, sur les berges du torrent à Curiti nos voisins ne grillaient pas moins de 3 Kgs de viande pour 4.
San Gil est une ville adossée à la montagne avec des rues en pente très raide pouvant atteindre 35/40°.
A 3/4 heure de mini-bus on rejoint de beaux villages coloniaux, en particulier Barichara encore plus chic que Villa de Leyva. Sa place centrale merveilleusement arborée, ses rues pavées, et son mirador face à la Cordillère Orientale en font une étape incontournable.
Le transport scolaire
Dans le cimetière de Barichara les tombes sont à l'effigie des artistes défunts
Le cañon de Chicamocha se visite de 2 façons, la plus fréquente de manière très touristique motorisée jusqu'au sommet, puis un téléphérique qui rejoint le torrent pour remonter sur l'autre versant, autrement dit la foule et les activités qui accompagnent le lieu.
Pour notre part nous avons choisi, la façon ''chemins secrets'' avec un guide pour la modique somme de 35 € la journée pour une marche de 4 heures A/R en ne rencontrant personne et seulement une ferme modeste de café. Le chemin carrossable traverse des caféiers poussant à l'ombre des bananiers et des yucas ( sortes d'albizias ), la piste devient sentier plus pentu pour déboucher sur des piscines naturelles propices à une baignade privilégiée.
Ouf ce n'est pas tout mais il faut remonter sous un soleil de plomb.
Bains privés
Une modeste ferme où on produit le café et on tisse les sacs en fibres naturelles extraites du fiquié identique à l'aloes
IL serait dommage de poursuivre vers les côtes caribéennes sans faire un halte à Santa Cruz de Monpox à l'écart des circuits touristiques, sur les berges du fleuve le plus long du pays, le Rio Magdalena. Ville de style colonial aux façades délavées, ses églises multicolores, ses rues plantées de nombreux arbres, elle ne saurait restée dans sa torpeur car déjà de nombreuses demeures sont restaurées en hôtels boutiques avec de luxuriants patios en bord de rivière. Une sortie de 3 heures en pirogue nous conduit dans cette immense zone humide où nous commençons à voir des oiseaux et des iguanes, puis baignade aussi en eau peu profonde et tiède
Un dimanche à San Gil nous démontre combien la ferveur religieuse existe en Amérique latine, bien qu'il y ait des messes chaque jour régulièrement suivies, celle du dimanche fait le plein, le marché et les places aussi.
Ensuite c'est le barbecue au bord de l'eau, si les gens sont gras ils s'en donnent la peine, sur les berges du torrent à Curiti nos voisins ne grillaient pas moins de 3 Kgs de viande pour 4.
San Gil est une ville adossée à la montagne avec des rues en pente très raide pouvant atteindre 35/40°.
A 3/4 heure de mini-bus on rejoint de beaux villages coloniaux, en particulier Barichara encore plus chic que Villa de Leyva. Sa place centrale merveilleusement arborée, ses rues pavées, et son mirador face à la Cordillère Orientale en font une étape incontournable.
Le cañon de Chicamocha se visite de 2 façons, la plus fréquente de manière très touristique motorisée jusqu'au sommet, puis un téléphérique qui rejoint le torrent pour remonter sur l'autre versant, autrement dit la foule et les activités qui accompagnent le lieu.
Pour notre part nous avons choisi, la façon ''chemins secrets'' avec un guide pour la modique somme de 35 € la journée pour une marche de 4 heures A/R en ne rencontrant personne et seulement une ferme modeste de café. Le chemin carrossable traverse des caféiers poussant à l'ombre des bananiers et des yucas ( sortes d'albizias ), la piste devient sentier plus pentu pour déboucher sur des piscines naturelles propices à une baignade privilégiée.
Ouf ce n'est pas tout mais il faut remonter sous un soleil de plomb.
IL serait dommage de poursuivre vers les côtes caribéennes sans faire un halte à Santa Cruz de Monpox à l'écart des circuits touristiques, sur les berges du fleuve le plus long du pays, le Rio Magdalena. Ville de style colonial aux façades délavées, ses églises multicolores, ses rues plantées de nombreux arbres, elle ne saurait restée dans sa torpeur car déjà de nombreuses demeures sont restaurées en hôtels boutiques avec de luxuriants patios en bord de rivière. Une sortie de 3 heures en pirogue nous conduit dans cette immense zone humide où nous commençons à voir des oiseaux et des iguanes, puis baignade aussi en eau peu profonde et tiède
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RépondreSupprimerHeureuse de voir et lire votre beau périple car ici, vers 8h le matin on ouvre les volets, il pleut vers 12h30, il bruine... puis quelques heures après il pleut le ciel est toujours couvert et lorsque tu te couches vers 22h tu entends le vent souffler et il pleut... depuis votre départ le ciel pleure :-( merci pour votre partage de ces si belles images fraîches et ensoleillées, les visages lumineux des colombiens font plaisir à voir et font oublier le temps maussade.
RépondreSupprimerVotre fille très inspirée en cette fin de soirée.
Bisous